Thèse en cours

ÉLABORATION SUR SUBSTRAT ALUMINIUM DE COUCHES ANODIQUES DURES EN FINE EPAISSEUR, ANTI-ABRASION ET AUTOLUBRIFIANTES
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Triangle exclamation pleinLa soutenance a eu lieu le 27/11/2023. Le document qui a justifié du diplôme est en cours de traitement par l'établissement de soutenance.
Auteur / Autrice : Jérémy Daval
Direction : Laurence RicqVirginie MoutarlierJean-Luc Vermeulen
Type : Projet de thèse
Discipline(s) : Chimie
Date : Inscription en doctorat le
Soutenance le 27/11/2023
Etablissement(s) : Bourgogne Franche-Comté
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Carnot-Pasteur (Besançon ; Dijon ; 2012-....)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Univers, Temps-fréquence, Interfaces, Nanostructures, Atmosphère et environnement, Molécules
Jury : Président / Présidente : Cécile Langlade
Examinateurs / Examinatrices : Laurence Ricq, Delphine Veys-renaux, Laurent Arurault, Virginie Moutarlier, Mireille Turmine
Rapporteurs / Rapporteuses : Delphine Veys-renaux, Laurent Arurault

Mots clés

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Résumé

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L’aluminium est largement utilisé dans l’aéronautique pour ses propriétés physiques, notamment sa faible masse volumique. Pour les pièces en aluminium subissant du frottement, l’anodisation dure est préférée à l'anodisation conventionnelle afin d'augmenter la dureté et la résistance à l'usure. L’inconvénient de ce traitement est le coefficient de frottement élevé qui en découle. L’objectif de cette thèse en collaboration entre l’Institut UTINAM et Aalberts Surface Technologies (AST) est de conférer des propriétés autolubrifiantes aux couches anodiques dures sur alliages d'aluminium, sans que cela ne soit au détriment des autres propriétés. Dans un premier temps, la prise en main des pratiques industrielles de AST est l’occasion de créer un référentiel avec la solution industrielle actuelle mise en place lorsqu’un coefficient de frottement amélioré est demandé. Les développements pour que la couche anodique soit autolubrifiante tout en restant dure et résistante à l’abrasion comportent deux parties. La première porte sur l’étude de l’incorporation d’un polymère électrodéposable avec des propriétés lubrifiantes dans la profondeur des pores de la couche anodique sulfurique dure. La deuxième partie repose sur la création d’une couche composite en une unique étape pendant l’anodisation, en ajoutant des particules lubrifiantes à l’électrolyte d’anodisation. Cette partie est divisée en deux, avec l’utilisation d’un électrolyte usuel ou l’utilisation d’un électrolyte innovant.