Thèse de doctorat en Biologie des populations et écologie
Sous la direction de Morgan Mangeas.
Thèses en préparation à Nouvelle Calédonie , dans le cadre de École doctorale du Pacifique (Faaa) depuis le 17-04-2019 .
Les objectifs de cette étude sont d’évaluer et de mettre en oeuvre des méthodes d’études des paramètres des populations couramment utilisées pour les scinques (densité de populations, domaine vital, déplacements, phénologie, démographie..) et éventuellement un diagnostic sur la structure des populations (approche de génétique des populations, parenté, connectivité…), sous réserve de l’acquisition de données suffisantes. Les deux espèces de scinques choisies pour cette étude sont Lacertoides pardalis et Tropidoscincus variabilis qui cohabitent dans le Grand Sud dans des milieux similaires. Les deux espèces ont des morphologies et des préférences d’habitats proches et sont des fouisseurs des crevasses rocheuses. Lacertoides pardalis est considéré comme inféodé aux affleurements rocheux (péridotites) et donc rare. Tropidoscincus variabilis, à plus large répartition, sera également étudié est considéré comme un généraliste des éboulis en maquis et forêt. Les deux sont plus souvent vu perchées sur les éboulis pour ensuite disparaître au premier signe de mouvement qui fait de sujet idéal pour tester les différentes techniques d’évaluation de densité
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