Auteur / Autrice : | Ali-Malek Boubaya |
Direction : | Elie Hachem |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Mathématiques numériques, Calcul intensif et Données |
Date : | Soutenance le 05/07/2022 |
Etablissement(s) : | Université Paris sciences et lettres |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences fondamentales et appliquées (Nice ; 2000-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de mise en forme des matériaux (Sophia Antipolis, Alpes-Maritimes) |
établissement de préparation de la thèse : École nationale supérieure des mines (Paris ; 1783-....) | |
Jury : | Président / Présidente : Médéric Argentina |
Examinateurs / Examinatrices : Elie Hachem, Aurélien Larcher | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Stefanie Elgeti, Franck Boyer |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Cette thèse s'inscrit dans la volonté de développer un nouveau cadre numérique apte à traiter des cas industriels complexes.De cela est né le besoin de développer de nouveaux solveurs numériques qui viendront enrichir la bibliothèque des méthodes actuellement utilisées au sein de l'équipe.Cette volonté repose sur celle d'envisager une nouvelle approche de capture d'interface permettant d'obtenir de nouvelles informations sur la physique du système et apporter une robustesse numérique.La méthode phase-field est basée sur une approche énergétique de l'interface séparant les phases ce qui n'est pas le cas de la méthode de capture d'interface actuellement utilisée par l'équipe qui repose sur une approche géométrique.De plus, la méthode possède de bonnes propriétés pour modéliser l'action capillaire, impliquée dans le mouillage, et considérer les angles de contact.Orientée dans une perspective d'applications industrielles, cette interface de capture a pour objectif d'être unifiée à d'autres modèles physiques pour développer un outil multiphysique et une application multiple à la simulation numérique industrielle.