Courser le soleil : entre comédie, drame et tragédie, le coucher de soleil comme spectacle de la petite fin du monde
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Auteur / Autrice : | Guillaume Aubry |
Direction : | Brigitte Poitrenaud-Lamesi, Arnaud François |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Arts plastiques, musicologie |
Date : | Soutenance le 23/11/2022 |
Etablissement(s) : | Normandie |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Normandie Humanités (Mont-Saint-Aignan, Seine-Maritime) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Lettres, arts du spectacle, langues romanes (Caen ; 2008-....) |
établissement de préparation : Université de Caen Normandie (1971-....) | |
Jury : | Examinateurs / Examinatrices : Anne-Valérie Gasc, Sabine Forero-Mendoza, Marianne Massin, Jérôme Laurent, Élisabeth Lalou, Claire Bernardi |
Rapporteurs / Rapporteuses : Anne-Valérie Gasc, Sabine Forero-Mendoza |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
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Résumé
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« Le soleil nʼa de spectateur que quand il sʼéclipse » écrit Sénèque dans ses Questions naturelles*. Le coucher de soleil est un spectacle du monde. Un spectacle qui se répète quotidiennement. Le spectacle par lequel le monde lui-même se répète quotidiennement, et pour lʼéternité. S’il est omni-présent dans la création artistique, il semble parallèlement souffrir d’un évitement de la pensée critique. Cette thèse de création a pour objet de penser cet évitement critique, en partant d’une analyse d’un corpus d’oeuvres large et prospectif.