Thèse soutenue

Étude et commande numérique à hautes performances pour la correction du facteur de puissance avec régulateur auto-oscillant dans l'application au soudage à l'arc électrique

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Auteur / Autrice : Quentin Bellec
Direction : Mohamed Fouad BenkhorisJean-Claude Le Claire
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Génie électrique
Date : Soutenance le 18/03/2021
Etablissement(s) : Nantes
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Mathématiques et sciences et technologies de l'information et de la communication (Rennes)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Institut de Recherche en Énergie Électrique de Nantes-Atlantique
Jury : Président / Présidente : Corinne Alonso
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Paul Gaubert
Rapporteurs / Rapporteuses : Babak Nahid-Mobarakeh, Xuefang Lin-Shi

Mots clés

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Mots clés contrôlés

Résumé

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Un poste à souder à l’arc électrique représente une charge non-linéaire et complexe polluant le réseau électrique. Aujourd’hui le marché du soudage est en pleine expansion et l’optimisation de la consommation des postes est recherchée. De plus, l’apparition d’une norme imposant l’obtention d’un facteur de puissance unitaire de manière plus restrictive est à prévoir dans un avenir proche. Ainsi, les travaux menés dans cette thèse consistent à élaborer une architecture de conversion d’énergie et à développer la commande numérique la plus adaptée à la correction du facteur de puissance au sein d’un poste à souder garantissant l’obtention d’un système de hautes performances et optimisant la conversion d’énergie. Après avoir défini les caractéristiquesgénérales d’un poste à souder et justifié l’intérêt de l’emploi d’un PFC, l’état de l’art proposé sur les topologies et régulateurs, permettant l’obtention d’un facteur de puissance unitaire, mène à l’emploi d’un convertisseur Vienna triphasé dont le contrôle en courant est effectué par un régulateur auto-oscillant robuste. L’investigation de la numérisation et l’étude de performances de ce régulateur, sont précédées d’une amélioration du modèle de la version analogique permettant une définition précise de la fréquence de commutation maximale du système. Le régulateur numérique nommé DPSSOCC est finalement implanté sur FPGA et son fonctionnement est validé sur banc de test expérimental monophasé puis triphasé.