Les politiques de pardon adoptées dans le cadre de la lutte contre le terrorisme en Algérie : entre exigences morales et contraintes politiques.
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Auteur / Autrice : | Moncef Bahar |
Direction : | Laetitia Bucaille, Dominique Darbon |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Science politique |
Date : | Soutenance le 31/03/2021 |
Etablissement(s) : | Bordeaux |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sociétés, politique, santé publique (Bordeaux) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre Émile Durkheim - Science politique et sociologie comparatives (Pessac, Gironde) |
Jury : | Président / Présidente : Myriam Aït-Aoudia |
Examinateurs / Examinatrices : Laetitia Bucaille, Dominique Darbon, Myriam Aït-Aoudia, Valérie-Barbara Rosoux, Sid-Ahmed Souiah, Laetitia Bucaille | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Valérie-Barbara Rosoux, Sid-Ahmed Souiah |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
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Les politiques de pardon constituent aujourd’hui une constante dans le cadre du solde d’une situation post-conflit interne. Les Etats recourent à des arbitrages entre l’objectif de consolider la paix et l’impératif de rendre justice, de manière à préserver un équilibre fragile dans les sociétés concernées. L’Algérie a fait face à partir des années 1990 à une menace terroriste d’obédience islamiste, sans précédent dans l’histoire contemporaine. L’Etat a pris en 1999 puis en 2005, deux lois de pardon pour juguler cette menace et les résultats obtenus sont différemment appréciés par les acteurs concernés.