Interactions Pisum sativum – Pseudomonas : conséquences sur la nutrition en fer, la croissance et l’immunité de la plante hôte
Auteur / Autrice : | Tristan Lurthy |
Direction : | Sylvie Mazurier |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Biologie des populations et écologie |
Date : | Soutenance le 13/03/2020 |
Etablissement(s) : | Bourgogne Franche-Comté |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Environnements, Santé (Dijon ; Besançon ; 2012-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Agroécologie (Dijon) |
établissement de préparation : Université de Bourgogne (1970-....) | |
Jury : | Président / Présidente : Thierry Rigaud |
Examinateurs / Examinatrices : Angélique Besson-Bard, Marie Champomier-Verges, Yvan Moënne-Loccoz | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Stéphane Mari, Yves Dessaux |
Mots clés
Résumé
À travers cette étude, l’importance des interactions entre la plante et les microorganismes du sol liées à la dynamique du fer dans la rhizosphère a été mise en évidence. Plus particulièrement, l'objectif a été de déterminer le rôle des bactéries appartenant au groupe des Pseudomonas spp. fluorescents et de leurs sidérophores (sids) majoritaires, les pyoverdines (pvds), dans la nutrition en fer et l'immunité du pois (Pisum sativum), une plante à fort intérêt en agroécologie et pour l'alimentation.La stratégie choisie a été d’étudier l'effet de la plante sur les microorganismes et, en retour, des microorganismes sur la plante. Deux cultivars de pois, l'un sensible (S), et l'autre tolérant (T), à la chlorose ferrique ont été étudiés afin de dégager des hypothèses de la comparaison des données acquises. La pvdC7R12 modèle utilisée dans plusieurs études antérieures, et A. thaliana, ont également été intégrées à ce travail pour progresser dans la connaissance des mécanismes impliqués dans les interactions étudiées.