Auteur / Autrice : | El Mehdi Amhoud |
Direction : | Ghaya Rekaya Ben Othman, Yves Jaouën |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Electronique et communications |
Date : | Soutenance le 11/12/2017 |
Etablissement(s) : | Paris, ENST |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Informatique, télécommunications et électronique de Paris |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire Traitement et communication de l'information (Paris ; 2003-....) |
Jury : | Président / Présidente : Christophe Peucheret |
Examinateurs / Examinatrices : Catherine Douillard, Mounir Ghogho | |
Rapporteurs / Rapporteuses : René-Jean Essiambre, Andrew Ellis |
Mots clés
Résumé
Les deux dernières décennies ont connu une croissance exponentielle de la demande pour plus de capacité dans les réseaux optiques. Cette croissance a été principalement causée par le développement d'Internet et le trafic croissant généré par le nombre croissant des utilisateurs. La fibre optique offre plusieurs degrés de liberté pour augmenter la capacité. La fréquence, le temps, la phase, la polarisation ont déjà été utilisés pour satisfaire la demande de bande passante, ainsi le multiplexage spatial (SDM) reste le seul degré de liberté disponible pouvant être utilisé dans les systèmes optiques afin d'augmenter la capacité. Cependant, les interactions entre les différents canaux spatiaux dans le même milieu de propagation est inévitable. Ces interactions, si elles ne sont pas compensées, entraînent des dégradations qui détériorent les performances du système. À cette fin, des recherches intensives sont menées récemment afin de développer un traitement de signal avancé capable de traiter ces détériorations dans les systèmes à multiplexage spatial. Motivés par le rôle potentiel des fibres optiques multimodes (MMF) dans les futurs systèmes SDM, dans cette thèse, nous présentons des solutions de codage modernes pour réduire la diaphonie non-unitaire qui affecte les modes spatiaux dans les fibres multimodes entraînant une dégradation des performances.