Thèse soutenue

"Kinésithérapie La Revue" : histoire d'une revue professionnelle
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Auteur / Autrice : Michel Gedda
Direction : Olivier Chovaux
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives
Date : Soutenance le 11/09/2017
Etablissement(s) : Artois
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Sciences économiques, sociales, de l'aménagement et du management (Villeneuve d'Ascq)
Jury : Président / Présidente : Claudine Fabre
Examinateurs / Examinatrices : Olivier Chovaux, Claudine Fabre, Rémi Gagnayre, Oumaya Hidri Neys, Isabelle Caby
Rapporteurs / Rapporteuses : Rémi Gagnayre, Oumaya Hidri Neys

Mots clés

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Mots clés contrôlés

Résumé

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Les périodiques kinésithérapiques français constituent une richesse patrimoniale pourla profession. Soutiens d’histoire et d’identité, les revues présentent de précieuxtémoignages sociologiques et épistémologiques.Une recherche bibliographique et bibliométrique a permis d’identifier 285 périodiquesimprimés de la profession depuis 1803, parmi lesquels 21 sont encore vivants. Troisgrandes filiations généalogiques ont été repérées : la lignée « FFMKR » (depuis 1927),la lignée « SDK » (depuis 1936) et la lignée « SNMKR » (depuis 1977). La généalogiedes deux revues membres de l’International Society of Physiotherapy Journal Editors,a été reconstituée.L’analyse des contenus de « Kinésithérapie la Revue » révèle une grande diversité quicombine l’information générale, la formation continue et la recherche scientifique, defaçon équitable au sein des spécialités médicales.L’évaluation de la notoriété révèle que « Kinésithérapie la Revue » est la revuefrancophone la plus connue de son domaine. L’évaluation de sa scientificité révèle desniveaux de preuve plutôt bas, mais en augmentation continue. L’indice de factualité estproposé pour valoriser la tridimensionnalité du paradigme de la pratique factuelle.La situation française et l’exposition internationale de la revue la contraignent à unebivalence. Celle-ci interroge sur les nouveaux usages de production et deconsommation des savoirs.