Auteur / Autrice : | Maud Weiss |
Direction : | Nathalie Niederhoffer, Pascal Bousquet |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Pharmacologie cardiovasculaire |
Date : | Soutenance le 30/09/2016 |
Etablissement(s) : | Strasbourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences de la vie et de la santé (Strasbourg ; 2000-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire de pharmacologie et toxicologie neurocardiovasculaire (Strasbourg) |
Jury : | Président / Présidente : Céline Demougeot |
Examinateurs / Examinatrices : Nathalie Niederhoffer, Pascal Bousquet, Céline Demougeot, Atul Pathak, Séverine Sigrist, Lyne Fellmann | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Céline Demougeot, Atul Pathak |
Mots clés
Résumé
Le syndrome métabolique (SMet) est caractérisé par la conjonction de troubles cardiovasculaires et métaboliques. Une hyperactivité du système nerveux sympathique pourrait être impliquée dans le développement du SMet. Les récepteurs I1 des imidazolines (RI1) identifiés par notre équipe ont une action sympatho-inhibitrice et représentent donc une cible de choix pour le développement de nouveaux médicaments. Dans notre laboratoire, des études de pharmaco-chimie ont permis de synthétiser une série d’aminopyrrolines sélectives des RI1. Des études préliminaires nous ont permis de sélectionner un chef de file, le LNP599, qui diminue la pression artérielle et induit des effets métaboliques bénéfiques. Des effets périphériques additionnels liés à l’adiponectine ont également été remarqués. Le premier objectif de ma thèse a consisté au développement d’un modèle original de SMet chez le ouistiti pour y tester l’intérêt thérapeutique du LNP599. Le second objectif fut d’étudier les effets périphériques potentiels des ligands RI1. Ces études ont été menées chez le rat âgé, un modèle d’insulino-résistance modérée, et sur les cellules hépatocytaires HepG2.