Auteur / Autrice : | Claude Mourlam |
Direction : | Regine Hunziker-Rodewald |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Théologie protestante |
Date : | Soutenance le 25/09/2015 |
Etablissement(s) : | Strasbourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Théologie et sciences religieuses (Strasbourg ; 1997-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Théologie protestante (Strasbourg) |
Jury : | Président / Présidente : Thomas C. Römer |
Rapporteurs / Rapporteuses : Michaela Bauks, Pierre Van Hecke |
Mots clés
Résumé
Au début de l’Exil babylonien, les prophètes expliquent la correction infligée par Nabuchodonosor au peuple de Juda comme un châtiment voulu par YHWH. Leur vocabulaire se fait alors riche en termes techniques de la rupture d’alliance. La 1° partie de ce travail présente une brève synthèse de l’histoire de la recherche sur la théologie de l’alliance et son lien avec des traités de vassalité du Proche-Orient ancien. La 2° partie étudie le voc. de la rupture de l’alliance en Jr, Éz mais aussi dans le Dt- És afin de spécifier son usage à la fin de l’Exil. La 3° partie s’arrête sur la section d’És 52,13 - 53,12 et son paradoxe : 2 verbes hébreux de la rupture d’alliance au service d’un message d’espérance. L’étude linguistique et sémantique de ce passage révèle une notion de fin explicite de rupture d’alliance. Dans la conclusion, la sortie d’impasse théologique est suivie jusqu’à la découverte d’un lien théologique entre les trois derniers chap. du Dt-És : le concept d’alliance éternelle.