Auteur / Autrice : | Marina Castilho Takami |
Direction : | Christian Delage |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Esthétique, sciences et technologies du cinéma et de l'audiovisue |
Date : | Soutenance le 30/11/2015 |
Etablissement(s) : | Paris 8 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Esthétique, sciences et technologie des arts (Saint-Denis, Seine-Saint-Denis) |
Partenaire(s) de recherche : | Equipe de recherche : Esthétique, sciences et technologies du cinéma et de l'audiovisuel |
Jury : | Président / Présidente : Antoine de Baecque |
Examinateurs / Examinatrices : Christian Delage, Laurent Guido, Noël Herpe | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Eduardo Morettin |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
La musique était pour Éric Rohmer une passion et un modèle de création artistique. Dans cette perspective, elle participe intimement de sa pratique cinématographique et de sa théorisation sur les arts, ainsi que de sa reconnaissance comme artiste-intellectuel. Cette étude se consacre à l'analyse de l’œuvre du cinéaste dans le but de vérifier comment la musique peut être considérée comme son modèle idéal. Ce travail s'intéresse à la formation de la culture musicale de Rohmer en tant que facteur déterminant pour comprendre sa conception de l'art musical et, par conséquent, de la musique au cinéma. Il s'agit de confronter sa pensée (à travers ses écrits et déclarations) à sa pratique, en rendant compte de la diversité de son œuvre - du court métrage Sonate à Kreutzer (1956), sonorisé au magnétophone de la rédaction des Cahiers du cinéma, à la pièce de théâtre le Trio en mi bémol (1987).