Auteur / Autrice : | Abdalla Elabidi |
Direction : | Sébastien Roland |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit public |
Date : | Soutenance le 08/07/2015 |
Etablissement(s) : | Clermont-Ferrand 1 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des sciences économiques, juridiques, politiques et de gestion (Clermont-Ferrand) |
Partenaire(s) de recherche : | Equipe de recherche : Centre Michel de l'Hospital (Clermont-Ferrand) |
Laboratoire : Centre Michel de l'Hospital : laboratoire de recherche en Sciences Juridiques et Politiques EA 4232 UdA / CMH | |
Jury : | Président / Présidente : Charles-André Dubreuil |
Examinateurs / Examinatrices : Sébastien Roland, Charles-André Dubreuil, Marie-Élisabeth Baudoin, Marie-Clotilde Runavot | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Delphine Dero-Bugny, Franck Latty |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
L’évaluation de l’expérience de l’Unité africaine par rapport à l’Unité européenne dépasse l’aspect conceptuel car orientée vers une philosophie d’intérêt commun. Ainsi, il faut reconnaitre que l’idée d’Union en elle-même, est née d’un ensemble de circonstances historiques, politiques et socio-économiques. Cette évidence met en relief l’originalité de l’Union européenne qui, contrairement à l’Union africaine, a suscité une longue prise de conscience des pays fondateurs, lesquels se sont retrouvés à l’issue de la Seconde Guerre mondiale face à la nécessité de reconstruire leurs pays à tous les plans. A contrario, il semble que peu de nouveautés aient été apportées par l’Union africaine à l’Organisation de l’Unité africaine préexistante. Force est de constater, en outre, que l’Union africaine n’a fait que reconduire de façon formelle la structure institutionnelle de l’Union européenne sans prendre en compte la particularité socio culturelle et politico économique du continent africain.