Auteur / Autrice : | Julie Goffard |
Direction : | Davy Gérard, Patrice Miska |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Optique et Nanotechnologies |
Date : | Soutenance le 25/03/2014 |
Etablissement(s) : | Troyes |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale Sciences pour l'Ingénieur (Troyes, Aube) |
Partenaire(s) de recherche : | Association : LES INSTITUTS CARNOT |
Laboratoire : Institut Charles Delaunay / ICD | |
Jury : | Président / Présidente : Mustapha Lemiti |
Examinateurs / Examinatrices : Davy Gérard, Patrice Miska, Mustapha Lemiti, Vincent Paillard, Jérôme Wenger, Patrice Melinon, Jérôme Plain, Michel Vergnat | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Vincent Paillard, Jérôme Wenger |
Mots clés
Résumé
La découverte de la photoluminescence du silicium sous sa forme nanométrique a ouvert la voie de l’utilisation du silicium dans les composants optoélectroniques. Cependant cette photoluminescence reste trop peu efficace et de nombreuses recherches portent aujourd’hui sur l’amélioration des propriétés optiques du silicium. Ce travail de thèse s’intéresse particulièrement à l’utilisation de plasmons de surface localisés afin d’améliorer les propriétés optiques de nanocristaux de silicium. Grâce au contrôle de tous les paramètres géométriques des nanocristaux de silicium et des nanoparticules métalliques lors de la fabrication des échantillons, il a été possible d’étudier les phénomènes physiques du couplage entre ces deux objets. Une modification de l’émission des nanocristaux de silicium en fonction de la distance, de la taille et de la nature des nanoparticules métalliques a été étudiée. Grâce au développement de différentes techniques de caractérisation optique, il a été possible de montrer que la photoluminescence des nanocristaux de silicium était modifiée à la fois spectralement et spatialement par les plasmons de surface localisés. Ce travail montre que grâce aux plasmons de surface localisés il est possible de grandement améliorer la photoluminescence des nanocristaux de silicium et ainsi il est possible d’imaginer de nouveaux composants optoélectroniques à base de silicium et de plasmons