Auteur / Autrice : | Neïla Malleh |
Direction : | Bernard Gangloff, Noureddine Kridis |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Psychologie |
Date : | Soutenance le 09/12/2014 |
Etablissement(s) : | Paris 10 en cotutelle avec Université de Tunis (1958-1988) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Connaissance, langage, modélisation (Nanterre) |
Jury : | Président / Présidente : Mohamed Riadh Ben Rejeb |
Examinateurs / Examinatrices : Bernard Gangloff, Noureddine Kridis, Mohamed Riadh Ben Rejeb, Marcel Lourel, Slah Eddine Ben Fadhel | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Marcel Lourel, Slah Eddine Ben Fadhel |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Cette recherche se propose trois objectifs : il s’agit, premièrement, de dégager les représentations et les causes que les patients tunisiens attribuent à la pathologie cancéreuse. Deuxièmement, de déceler les croyances en matière de contrôle perçu pour ce qui est de l’évolution de la maladie. Enfin, de chercher l’effet direct, médiatisé ou modéré d’un ensemble de variables personnelles, médicales et environnementales sur le coping de ces patients. Les résultats auxquels nous avons abouti, au moyen d’une étude quantitative, mettent en évidence l’effet direct du niveau socio-culturel du patient sur le choix du coping centré sur le problème. Cet effet se trouve médiatisé partiellement par un Lieu de contrôle-médecin, un fort sentiment d’efficacité personnelle et une tendance vers l’optimisme. En outre, une étude qualitative a fait émerger des notions comme celle d’optimisme réaliste, du coping religieux et de la croyance en un monde juste. De tels résultats sont en faveur de la conception et de la mise en place de programmes de formation et de développement des ressources humaines afin de promouvoir le système de santé du pays.