Auteur / Autrice : | Mohamed Keita |
Direction : | Papa Samba Diop |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Langues et littératures étrangères |
Date : | Soutenance le 27/06/2011 |
Etablissement(s) : | Paris Est |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale Cultures et Sociétés (Créteil ; 2010-2015) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : LIS - Lettres Idées Savoir |
Jury : | Président / Présidente : Tumba Alfred Shango Lokoho |
Examinateurs / Examinatrices : Papa Samba Diop | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Julien Kilanga |
Mots clés
Résumé
La présente thèse a pour but de ressortir l’implicite de l’œuvre de Tierno Monénembo. Elle se structure autour de trois axes principaux ; le premier étudie les instances narratives ; le deuxième porte sur les principaux actants du récit ; le troisième axe permet d’élaborer la genèse du mythe personnel de l’écrivain à travers l’exil. L’analyse psychocritique de l’œuvre de Monénembo se veut être aussi une étude portant sur la psychologie des personnages, elle tâche de mettre en exergue le malaise identitaire des personnages et celui de l’exilé en somme, face à des traumatismes sociopolitiques, les personnages éprouvent la nostalgie du royaume de l’enfance. Cette structure récurrente dans l’œuvre est la résultante d’un passé troublant. Celui-ci se traduit dans le discours des narrateurs. Ces derniers s’inspirent en général de l’univers familial ou de celui du pays natal « mal sorti » du joug colonial français