Thèse de doctorat en Musique et musicologie
Sous la direction de François Picard.
Soutenue le 17-12-2011
à Paris 4 , dans le cadre de École doctorale Concepts et langages (Paris) , en partenariat avec Patrimoines et Langages Musicaux (Paris) (équipe de recherche) .
Le président du jury était Nicolas Meeùs.
Le jury était composé de Aïda Kanafani-Zahar, Miriam Rovsing Olsen, Georgiana Wierre-Gore.
Cette thèse s’intéresse à la danse dabka, l’expression musico-chorégraphique la plus importante du paysage musical au Liban. Il s’agit d’analyser la dabka dans l’unité de son aspect musico-chorégraphique ; la danse étant analysée dans son lien avec la musique. Une autre dimension s’ajoute à cet aspect, il s’agit de l’aspect anthropologique de la dabka, la dabka en tant que manifestation sociale au Liban.Un choix méthodologique des enregistrements du terrain qui a duré pendant plus qu’une année au Liban, a permis de confronter les confirmations à priori de ce même terrain avec les résultats des analyses faites au cours de cette thèse pour les composantes ethnomusicologique et ethnochoréologique.
The dabka : dance and music of Lebanon
This thesis focuses on the dance dabka, the most important musico-choreographic expression of the musical landscape in Lebanon. The dabka is analyzed from a unified musico-choreographic standpoint where the dance is investigated in connection with music. The anthropological aspect is also considered, where the dabka is viewed as a social manifestation in Lebanon. A methodical selection of recordings, collected over a period of time of more than one year in Lebanon, allowed subjecting common beliefs to scientific scrutiny focusing on ethnomusicological and ethnochoreological aspects.