Thèse de doctorat en Géographie sociale et régionale
Sous la direction de Yamna Djellouli.
Soutenue en 2010
à Le Mans , en partenariat avec Espaces et sociétés (Le Mans) (laboratoire) et de Université du Maine. Faculté des lettres et sciences humaines (autre partenaire) .
Huit parcs nationaux, seize réserves naturelles (aujourd’hui ce sont vingt), quatre réserves de biosphère représentent la richesse faunistique et floristique de la Tunisie. Dans les années 1990 et plus précisément 1993, le ministère de l’environnement et de l’aménagement du territoire a été créé. De ce fait, tous les parcs nationaux ont été créés dans les années 1990. Donc, la Tunisie s’est engagée dans une politique volontariste afin de préserver les écosystèmes et les espèces (animales et végétales), de reconstituer une faune sauvage par la réintroduction des espèces autochtones ayant disparu et contribuer à un développement durable. Plusieurs acteurs ont été impliqués dans la gestion de ces aires protégées surtout l’Etat qui représente l’acteur principal à côté de la banque mondiale qui a financier le projet de la Gestion des Aires Protées (projet GAP), à cela s’ajoute plusieurs acteurs. Le rôle des O. N. Gs reste limité. Un bon résultat a été remarqué surtout dans le parc national de Bou Hedma où la steppe à Acacia raddiana tortellis a bien couvert la zone le temps qu’elle ne dépassé pas les 10 000 ha avant la création du parc. La réintroduction des espèces disparues a réussi et l’accouplement a été fait d’une manière normale réussie aussi. Afin à contribuer à un développement durable il aurait fallu équilibrer entre les trois piliers économique, socialo et environnemental. Mais en réalité ce n’est pas le cas car la coté social a resté marginalisé et la population a été écartée de tous les projets de gestion des ces aires protées. Le côté environnemental a été bien respecté en réintroduisant les différentes espèces le développement de l’espace de l’acacia. Parc contre le pilier économique, la Tunisie a essayé de développer l’activité écotouristique mais ce secteur reste jusqu'à aujourd’hui fragile et de proximité. Donc, le palier économique reste à développer. Ce qui pose la question sur l’avenir du développement durable en Tunisie ?
Eight national parks, sixteen natural reserves (today they are twenty), four reserves of biosphere represent the faunistic and floristic richness of Tunisia. In the years 1990 and more precisely 1993, the Department of the Environment and town and country planning were created. So all the national parks were created in the years 1990. Therefore, Tunisia committed itself in a political volunteer in order to preserving the ecosystems and the species (animal and vegetable), to reconstitute a wildlife by the reintroduction of the species autochtones having disappeared and to contribute to a sustainable development. Several actors were implied in the management of these protected areas especially the State which represents the main actor beside the World Bank which financial assets the project of the Management of the Surfaces Protées (GAP project), with that is added several actors. The role of O. N. G. S remains limited. A good performance was noticed especially in the national park of Bou Hedma where the steppe with Acacia raddiana tortellis was overcast the zone well the weather that it exceeded not the 10. 000 ha before the creation of park. The reintroduction of the disappeared species succeeded and the coupling was made in a normal way successful too. For contributing to a sustainable development it would have been necessary to balance between the three pillars economic, socialo and environmental. But actually it is not the case because it with dimensions social remained marginalized and the population was isolated of all the projects of management as of these protées surfaces. The environmental side was respected strictly in reintroducing the various species the development of the space of the acacia. Park against the economic pillar, Tunisia tried to develop the ecotouristic activity but this sector remains until today fragile and of proximity. Therefore, the economic stage remains to be developed. What raises the question about the future of sustainable development in Tunisia?