Auteur / Autrice : | Boutayna Rhourri-Frih |
Direction : | Michel Lafosse, Patrick Chaimbault |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Chimie analytique |
Date : | Soutenance le 26/11/2009 |
Etablissement(s) : | Orléans |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale Sciences et technologies (Orléans) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut de chimie organique et analytique (Orléans ; 1995-2011) |
Jury : | Président / Présidente : Olivier Laprévote |
Examinateurs / Examinatrices : Michel Lafosse, Patrick Chaimbault, Olivier Laprévote, Annelise Lobstein, Jean-Hugues Renault, Patrice André | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Annelise Lobstein, Jean-Hughues Renault |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
L’analyse et la classification de 31 résines végétales par différentes méthodes analytiques (HPTLC, CPL-UV, CPL-DEDL, CPL-SM, CPG-SM et RMN) a été réalisée dans un but d’établir un lien de parenté entre l’identité chimique d’une résine et son appartenance botanique. Les résines naturelles étant riches en dérivés triterpéniques une étude de leur détection par spectrométrie de masse (SM) a été menée montrant l’intérêt de l’ionisation douce pour cette famille moléculaire et l’avantage des sources APCI et APPI pour une détection sensible en LC-MS e ces composés. Ces métabolites secondaires peu polaires et très riches en isomères, ont nécessité la mise au point des méthodes d’extraction et de séparation efficace pour permettre l’amélioration de leur rendement d’extraction et faciliter leur identification dans leur milieu naturel. Trois dérivés triterpéniques ont été identifiés pour la première fois dans l’une des résines étudiées (Manilkara bidentata) et leur activité biologique a été testée sur des cellules de peau humaine en culture.