Thèse de doctorat en Littérature générale et comparée
Sous la direction de Fridrun Rinner.
Soutenue en 2009
à Aix-Marseille 1 , en partenariat avec Université de Provence. Faculté des lettres et sciences humaines (1969-2011) (autre partenaire) .
Cette thèse a pour objet l’analyse de la littérature migrante contemporaine en Grande-Bretagne, en Allemagne et au Luxembourg. Dans un développement tripartite elle présente d’abord l’évolution de ladite littérature dans les espaces littéraires choisis en mettant en évidence la réaction que peuvent avoir un espace postcolonial (GB), non-postcolonial (D) et interculturel (L) à l’émergence de cette littérature hybride. Suit l’interprétation du corpus romanesque des auteurs Jean Portante, Zafer Senocak et Kazuo Ishiguro sous l’angle d’un questionnement se rapportant essentiellement au sujet de l’identité hybride. Une dernière partie traite des réflexions des auteurs migrants concernant l’identité du pays d’accueil, de la (ré)écriture de l’Histoire dans la littérature migrante, de la langue contaminée comme caractéristique de l’écriture migrante et de la réception de l’écrivain migrant. L’étude travaille avec les théories littéraires interculturelles et postcoloniales et certains préceptes des études culturelles.
Recovery of the lost space by the act of writing. Comparative study of three migrant writers : Kazuo Ishiguro, Jean Portante and Zafer Senocak.
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