Thèse de doctorat en Sciences de l'éducation
Sous la direction de Rémi Hess.
Soutenue en 2003
à Paris 8 .
La violence est un phénomène qui existe et qui s'exprime dans certaines couches de la population. Il existe, maintenant des zones de risque. Il y a de la violence dans les écoles, dans les établissements de l'éducation spécialisée. Les centres de l'éducation spécialisée ferment régulièrement. Les moyens d'insertion sont rejetés par ces jeunes qui veulent autre chose que ce qui est proposé. Les réponses à cette montée de violence ne se situe pas dans le rétablissement d'une autorité. Il s'agit de valoriser une identité aux jeunes qui souffre de la domination culturelle et économique. La recherche d'une identité est un des moteurs de la délinquance. Les centres fermés sont des lieux où la violence se reproduit. Ces jeunes souffrent de troubles de la personnalité, ce qui les entraînent vers des dépressions et ils agissent de manière hyper-active, jouant au cai͏̈d qui doit faire le plus d'actes délinquants. Les problèmes que pose la violence dans l'éducation peuvent être réduit par la place du corps dans l'éducation et les transformations qu'opèrent cette approche éducative. La place du corps n'est pas seulement l'étude d'une danse, d'un art comme l'écriture, le théâtre. Cela entraîne une transformation alchimique et restitue l'individu dans son devenir et dans son être et permet de réduire la violence
The expression as to reduce of the violence and the networks of educational
Pas de résumé disponible.