Thèse de doctorat en Science politique
Sous la direction de Claude Sorbets.
Soutenue en 2003
à Bordeaux 4 , en partenariat avec Institut d'études politiques de Bordeaux (Pessac, Gironde) (autre partenaire) et de Centre d'étude et de recherche sur la vie locale (Pessac, Gironde) (autre partenaire) .
Le président du jury était Claude Sorbets.
Le jury était composé de Claude Sorbets, Jean-Daniel Chaussier, Éric Kerrouche, Pierre Sadran, Pierre Valarié.
A partir des éléctions cantonales et municipales dans les cinq départements d'Aquitaine, entre 1959 et 1989, la thèse propose une réflexion sur l'identité électorale des médecins dans les situations de compétition politique et sur la compétence qu'ils peuvent mettre en oeuvre lorsqu'ils accèdent aux positions institutionnelles locales. Considérant qu'il n'est pas pertinent de chercher un modèle général d'analyse pour un ensemble d'agents, de trajectoires et de contexte marqué par une grande hétérogénéité, elle fait le choix d'observer les différents espaces de reconnaissance que doit franchir le médecin quand il se trouve engagé dans dans ce type de situation. L'appartenance à la profession médicale constitue une ressource d'éligibilité pour les médecins d'un double point de vue. Ils appartiennent à une profession différenciée au sein de la société française et l'exercice de leur rôle professionnel facilite la différentiation de leur personne dans la vie locale. . . .
Physicians as local political men : elective identities and knowledge-ability in the institutional position
Pas de résumé disponible.