Thèse de doctorat en Génie électrique
Sous la direction de Albert Foggia.
Soutenue en 2002
à Grenoble INPG , en partenariat avec Laboratoire d'électrotechnique (Grenoble1980-2006) (laboratoire) .
Le jury était composé de Corinne Rannou, Laure-Line Rouve.
Les rapporteurs étaient Francis Piriou, Bertrand Nogarède.
Les machines électriques deviennent le mode principal de propulsion des navires civils depuis quelques années car elles présentent de nombreux avantages. Cependant, l'application aux bâtiments militaires pose des problèmes de discrétion magnétique, notamment pour la lutte anti-mines. Le but de cette thèse est par conséquent de déterminer les champs magnétiques émis par une machine électrique. L'étude et la connaissance de ces champs permettent alors de les compenser de manière à rendre la machine magnétiquement discrète. La solution réside dans un système de compensation externe composé de bobines alimentées judicieusement selon les champs rotorique et statorique de la machine
Pas de résumé disponible.
Cette thèse a donné lieu à une publication en 2010 par [CCSD] à Villeurbanne
Discrétion magnétique des machines électriques de propulsion navale