Thèse de doctorat en Science des matériaux
Sous la direction de Pietro Cortona.
Soutenue en 2002
à Châtenay-Malabry, Ecole centrale de Paris , en partenariat avec Laboratoire de structures, propriétés et modélisation des solides (Gif-sur-Yvette, Essonne) (laboratoire) .
Notre but est de discuter les caractéristiques particulières concernant la stéréochimie du plomb dans les pérovskites ferroélectriques. Parmi ces composés, on s'intéresse à ceux présentant des transitions de phase relativement nettes vers une phase commensurable ou incommensurable (Pb2MgWo6 et Pb2MgTeO6). L'idée est de comparer le comportement de la liaison Pb-O qui semble jouer un rôle essentiel dans les pérovskites au comportement de cette liaison dans un oxyde de plomb simple tel que le monoxyde de plomb PbO. Pour cela, il existe des techniques sophistiquées (approche du groupe de super surface et analyse de l'anharmonicité) pour analyser ces liaisons. Les structures électroniques des pérovskites complexes ne sont pas facilement accessibles par des techniques expérimentales de diffraction à cause d'atomes lourds sur le site A. Les calculs auto cohérent ab initio de structure électronique, la distribution de charge, et la fonction de localisation électronique dans les pérovskites complexes au plomb (elpasolites) et dans le monoxyde de plomb fournissent une meilleure compréhension du comportement de la liaison Pb-O. En particulier, le caractère covalent des liaisons a un impact considérable sur la force des interactions entre les différents ions de la structure. L'analyse de ces liaisons dans de tels composés nous permet de discuter des caractéristiques communes de la stéréochimie du plomb. Cette image fournit une explication possible du comportement relaxeur au niveau atomique illustrant les effets de couplage de la polarisation du plomb et de la rotation des octaèdres
Study of the lone pairs behavviours in the lead based oxides by the DFT methods : pseudopotentials and LMTO-ASA
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