Thèse de doctorat en Histoire
Sous la direction de François Joyaux.
Soutenue en 2001
à Paris 1 .
En 1933, la France prit la possession de certaines iles des Spratly, ce qui provoquait une réaction vigilante de la part chinoise. La chine croyait que la France occupait les iles Paracels, un archipel dont la nationalité avait déjà été un conflit irrésolu entre Paris et Nankin. Le gouvernement nationaliste chinois, sans déclarer publiquement leurs revendications de souveraineté sur les iles Spratly, prenait des mesures administratives, même en papier, en vue de solidifier sa position sur les iles en mer de Chine méridionale, bien que telles mesures ne cachassent rien son ignorance géographique des iles Spratly. Apres la fin de la seconde guerre mondiale, Nankin occupa les iles principales des Paracels et Spratly, prétendant de restaurer sa souveraineté sur les terres occupées par des japonais,. Ceux-ci annexaient en 1939 les iles Spratly à Taiwan. La France proposa de résoudre le conflit des Paracels par l'arbitrage, mais lap chine refusa craignant qu'elle ne perte de nouveau son territoire aux étrangers. Le conflit des iles Paracels et Spratly devient un problème international après la guerre. Plus, la Chine estima que les iles Paracels et Spratly sont son territoire traditionnel après que Chiang Kai-Shek s'enfuit à Taiwan en 1949.
The Paracel and Spratly islands : the nationalist China's souvereignty claims on the south China sea from 1930 to 1950
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