Auteur / Autrice : | Benoît Willmann |
Direction : | Georges Roussy |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Électronique et électrotechnique |
Date : | Soutenance en 2001 |
Etablissement(s) : | Nancy 1 |
Partenaire(s) de recherche : | autre partenaire : Université Henri Poincaré Nancy 1. Faculté des sciences et techniques |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Ce travail est consacré à l'étude du fonctionnement des amplificateurs hautes fréquences munis d'un circuit de réaction. On montre qu'il est possible de prélever une partie de la puissance fournie, par une triode montée grille à la masse, et de la réinjecter en phase, avec le signal appliqué à la cathode. La réaction augmente le gain de l'étage d'un facteur cinq et permet de réduire la puissance que doit fournir le préamplificateur. La réaction positive est mise en œuvre par une ligne coaxiale de longueur proche de la longueur d'onde. Un "combiner" assure l'addition des signaux, au niveau de l'entrée de l'amplificateur. La notion d'impédance de sortie d'un amplificateur linéaire a été étendue aux amplificateurs non linéaires, de classes B et C. Elle repose sur la justification d'une même relation qui lie les variations du gain aux variations des impédances de la charge que les amplificateurs alimentent. L'impédance de sortie d'un amplificateur, à triode montée grille à la masse et dont le circuit de sortie est un circuit résonnant, varie peu lorsque l'étage est corrigé par une réaction positive.