Thèse de doctorat en Histoire du droit
Sous la direction de François Vallançon.
Soutenue en 2000
à Paris 2 .
Le but de la these est d'appliquer les principes de la philosophie du langage, et notamment de celle proposee par le philosophe autrichien ludwig wittgenstein, lors d'une tentative de resolution des problemes traditionnels de la philosophie du droit. Dans une premiere partie, il est question de ce qui peut etre dit clairement en philosophie du droit, c'est-a-dire de la recherche des confusions etdes limites du langage juridique. Dans une deuxieme partie, on traite de ce qui ne peut pas etre dit en philosophie du droit mais qui, neanmoins, pourrait etre montre.
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