Thèse de doctorat en Physique
Sous la direction de Alain Chambaudet.
Soutenue en 2000
à Besançon , en partenariat avec Université de Franche-Comté. UFR des sciences et techniques (autre partenaire) .
Les progrès de la micro-électronique de détection, et surtout la réduction de ses coûts de fabrication, nous ont permis de développer l'utilisation d'une photodiode silicium comme détecteur de particules nucléaires. Ce type de composants, élaborés au départ pour la mesure de photons lumineux, s'est avéré également très efficace pour la détection de particules alpha. La caractérisation théorique, par simulation numérique, et expérimentale de la réponse de ces photodétecteurs à un flux de particules alpha, dans des conditions standards, a montré les possibilités de les utiliser sans tension de polarisation inverse, dans l'air et à la pression atmosphérique. Cette étude a également mis en évidence que leur efficacité de détection était similaire à celle des détecteurs spécifiquement conçus pour la spectrométrie alpha sous vide. . .
Pas de résumé disponible.
The micro-electronics of detection improvements, and especially its price reductions, allowed us to develop the use of a silicon photodiode as nuclear particles detector. Its components, elaborated at first for measuring luminescent photons, proved to be also very efficient for the detection of alpha particles. The theoretical, bu numerical simulation, and experimental characterizations of the photodetectors response towards a flux of alpha particles, has showed the possibilities to use this set of spectrometry without any reverse bias voltage, in the air and under atmospheric pressure. . .