Thèse de doctorat en Sciences économiques
Sous la direction de Daniel Goyeau.
Soutenue en 2003
à Poitiers , en partenariat avec Centre de recherche sur l'intégration économique et financière (Poitiers) (équipe de recherche) et de Université de Poitiers. UFR de sciences économiques (1970-....) (autre partenaire) .
Les réformes entreprises dans le système financier et bancaire ont contribué et ceux [sic] depuis le début des années 80, à accroître la volatilité des taux d'intérêt. La variation des taux pose un sérieux problème aux banques puisqu'elle affecte leur rentabilité financière et leur valeur de marché. Et ceci d'autant plus que les banques s'orientent vers des activités de marché plus risquées au détriment des activités traditionnelles d'intermédiation. Le risque de taux peut néanmoins être couvert par divers moyens à la disposition des banques. Mais avant tout il est important de disposer d'une bonne mesure de ce risque. Des modèles sont ainsi étudiés tels que le modèle de duration et de maturité. Ces deux modèles sont utilisés par les banques malgré leurs hypothèses restrictives. Il est cependant difficile d'utiliser ces modèles en dehors du cadre interne de la banque. Aussi il est apparu plus judicieux d'étudier le risque de taux en passant par le marché ou par l'étude des comptes d'exploitation, les données étant plus facilement accessibles. Une analyse des rendements des actions d'un échantillon de banques françaises démontrent [sic] que ces dernières sont bien sensibles à une variation des taux d'intérêt
The management of the interest rate risk in the banks
Pas de résumé disponible.