Thèse de doctorat en Sciences appliquées
Sous la direction de Jean-Michel Torrenti.
Soutenue en 1995
Les enceintes de confinement des centrales nucléaires françaises sont réalisées en béton précontraint de 1,2 m d'épaisseur. L'étanchéité de la structure dépend principalement de la précontrainte résiduelle du béton. Or les dispositifs de surveillance des déformations différés font apparaitre des différences sensibles, suivant les sites, que les modèles de calcul réglementaires ne prennent pas en compte d'une façon satisfaisante. Pour améliorer la gestion du parc de centrales, au sens durée de vie, EDF a lancé en 1991 un vaste programme d'étude centré sur le matériau béton, et visant à prévoir le comportement réel en fluage des enceintes déjà construites. Ici, nous analysons une par une les différentes déformations différées du béton. Une analyse fine des phénomènes physico chimiques qui en sont à l'origine, nous conduit à proposer une modélisation d'ingénieur, sur la base d'un modèle du type milieu continu équivalent. Enfin, nous présentons les résultats de nos simulations et nous concluons en donnant les enseignements théoriques et pratiques de cette étude ainsi que quelques propositions réglementaires
Delayed behavior of concrete in nuclear power plant containment: analysis and modelling
Pas de résumé disponible.
Cette thèse a donné lieu à une publication en 1996 par Laboratoire central des ponts et chaussées à Paris
Comportement différé du béton dans les enceintes de centrales nucléaires : analyse et modélisation
Cette thèse a donné lieu à une publication en 2010 par [CCSD] à Villeurbanne
COMPORTEMENT DIFFERE DU BETON DANS LES ENCEINTES DE CENTRALES NUCLEAIRES : ANALYSE ET MODELISATION