Thèse de doctorat en Sciences économiques
Sous la direction de Jean-Alain Héraud.
Soutenue en 1992
Dans un contexte caractérisé par l'émergence régulière de nouvelles technologies, l'évaluation du capital fixe productif et du progrès technique permet d'apprécier l'efficacité des relations productives. Cette thèse propose une modélisation et, une estimation des effets des progrès qualitatifs incorporés dans les différentes générations du capital. L'analyse considère vingt-et-une branches industrielles suivies de 1959 à 1989. Pour chacune des industries, on évalue le capital fixe productif, l'âge du capital, le progrès technique, les délais moyens d'adaptation et de productivité; les degrés de complexité technologique et d'obsolescence de la Structure du capital fixe productif.
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