Thèse de doctorat en Sciences biologiques et fondamentales appliquées. Psychologie
Sous la direction de Otto Reisinger.
Soutenue en 1991
à Nancy 1 , en partenariat avec Université Henri Poincaré Nancy 1. Faculté des sciences et techniques (autre partenaire) .
L'étude de la biodégradation des racines mycorhizees, à notre connaissance, n'a pas été abordée à ce jour. Ce complexe représente par son hétérogénéité structurale et chimique, un produit original par rapport aux racines seules, dont la métabolisation a déjà été décrite par Kilbertus et al. (1972). Dans le cadre de cette expérience nous avons suivi les pertes de poids, les modifications ultrastructurales et l'évolution de la microflore des racines de soja mycorhizees ou non. Les résultats et l'analyse ultrastructurale prouvent que les fractions de racines dans champignon se dégradent plus rapidement que celles envahies par le symbiote (glomus mosseae). Le potentiel enzymatique des bactéries s'exprime successivement par la lyse de la pectine, de la chitine et plus tard par celle de la cellulose. La principale différence par rapport au schéma propose pour la biodégradation de la matière organique (Reisinger et Kilbertus, 1974) se rapporte a l'accélération de l'autolyse des champignons et de la dégradation de la chitine, entrainant la destruction de la paroi fongique
Ultrastructural studies of the vesicular-arbuscular endomycorrhizal (glomus mosseae) association with the roots of soybean (glycine max. L. Merrill) and intervention of micro-organisms in the root' residues
Pas de résumé disponible.