Thèse de doctorat en Biologie
Sous la direction de Michel Aigle.
Soutenue en 1991
à Bordeaux 2 .
Cette thèse se compose de deux parties: la première approche a consisté à utiliser un mélange d'oligonucléotides en vue de cloner le gène de structure d'une protéine qui fixe l'stradiol chez s. Cerevisiae. Cette approche a abouti au clonage du gène rep1 du plasmide 2 microns de la levure, qui ne code pas pour la protéine fixant l'stradiol. La séquence du gène clone est très différente de celle qui avait préalablement été publiée pour un autre variant du plasmide 2 microns. Cette divergence est significative d'une importante évolution interspécifique. La seconde approche a porté sur la sélection de mutants thermosensibles affectes pour la phase stationnaire. Trente-six mutants se répartissant en quatre groupes de complémentation ont été sélectionnés. Dans les conditions non permissives, ces mutants s'arrêtent dans la phase g1 du cycle cellulaire. Le gène affecte chez l'un de ces mutants a été clone et séquence. Il code pour une enzyme de la voie de biosynthèse de la proline. Il s'agit du gène pr03, qui code pour la pyrolline-5-carboxylate réductase
Study of the control of cell proliferation in Sacccharomyces cerevisiae : isolation and study of a variant of the 2 micron plasmid, selection and characterization of thermosensitive mutants
Pas de résumé disponible.