Thèse de doctorat en Chimie Physique
Sous la direction de Jean-Gérard Théobald.
Soutenue en 1991
à Besançon .
On met au point le fonctionnement d'un spectromètre hyperfréquence par l'étude de la R. P. E. Des métavanadates (temps de relaxation, intégrale d'échange). On est amené à approfondir quelque peu l'étude de leurs propriétés électriques (piézoélectricité, pyroélectricité). La susceptibilité hyperfréquence de jonctions présente des aspects très particuliers. En fonction de la tension de polarisation, la dispersion tend vers une limite, l'absorption présente un maximum. L'interprétation fait appel au champ local hyperfréquence, qui comporte en plus du champ produit par l'expérimentateur, un champ de type coopératif et un champ dépolarisant. On examine aussi l'effet d'un champ magnétique. A basse température (hélium), on peut observer la résonance cyclotronique et vérifier certains des paramètres (masses effectives) utilises dans la description des phénomènes étudies antérieurement. Les effets étant lies à l'existence de charges électriques, on peut détecter les courants lies au mouvement de ces charges, aussi bien pour les résonances de plasma que pour la résonance cyclotronique
Study of the radioelectrical susceptibility of junctions (resonances in the interfaces of semiconductors)
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