Thèse de doctorat en Physique
Sous la direction de Jean Dixmier.
Soutenue en 1989
à Paris 7 .
Etude experimentale par spectroscopie d'admittance et mesures optiques. Il est impossible d'interpreter l'effet staehler-wronski dans le cadre du seul modele de liaison faible. Interpretation d'une partie de cet effet avec le modele des liaisons brisees a energie de correlation negative
Contribution to the study of staebler-wronski effect in hydrogenated amorphous silicon
Pas de résumé disponible.