Thèse de doctorat en Zoologie des vertébrés
Sous la direction de Jean-Pierre Gasc.
Soutenue en 1988
à Paris 7 .
Une analyse cinéradiographique des modalités du fouissage a montré que le substrat est attaque par des morsures successives puis évacué par les membres. Les mouvements mis en jeu sont stéréotypés et cycliques. Ils correspondent à une adaptation comportementale de l'espèce résultant plus d'un phénomène évolutif que d'une accommodation individuelle ou d'un apprentissage. Une étude biomécanique analyse la poussée exercée par les membres pelviens. Une étude comparative de la morphologie de quelques rongeurs fouisseurs montre que les adaptations au fouissage d'a. Terrestris sherman sont discrètes et touchent l'ensemble du squelette
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