Thèse de doctorat en Sciences. Biologie et physiologie végétale
Sous la direction de Mireille Rougier.
Soutenue en 1987
à Lyon 1 .
Le jury était composé de Mireille Rougier.
Les mecanismes de reconnaissance susceptibles de controler la specificite de la symbiose aulne/frankia restent a connaitre. Nous avons choisi d'aborder le sujet par deux approches complementaires: l'une biochimique, consistant en la recolte et l'analyse des exsudats racinaires de l'aulne et l'autre physiologique et cytologique sur les etapes conduisant a l'infection. Les observations physiologiques et cytologiques de l'interaction ont ete realisees apres la mise au point d'un procede original d'inoculation focalise par microporteur initie sur des germinations d'alnus glutinosa et adapte a des plantules issues de micropropagation in vitro. L'obtention de nodules au site meme de depot du microporteur et dans environ 50% des plantules inoculees demontre la validite de la methode qui a deja permis de determiner avec precision la localisation des izones les plus receptives au moment de l'inoculation. L'approche cytologique a egalement permis d'initier l'etude chronologique des phenomenes se deroulant avant l'infection par l'observation des zones receptives et de la deformation des poils absorbants
Establishment of the alder/frankia symbiosis : optimisation of the in vitro study
Pas de résumé disponible.