Contribution à l'étude de la variabilité du pouvoir pathogène de Verticillium dahliae (Klebahn)

Contribution to the study of pathogenicity variability in Verticillium dahliae (Klebahn)

• Auteur / Autrice : Jackie Tailler
• Direction : Jean Chevaugeon
• Type : Thèse de doctorat
• Discipline(s) : Sciences biologiques
• Date : Soutenance en 1986
• Etablissement(s) : Paris 11
• Partenaire(s) de recherche : autre partenaire : Université de Paris-Sud. Faculté des sciences d'Orsay (Essonne)

Mots clés

Mots clés contrôlés

Tomate

Verticillium

Mots clés libres

Verticillium dahliae

Piment

Pouvoir pathogène

Mutauion

Agressivité

Recombinaison mitotique

Résumé

En prenant comme modèle des couples formés par Verticillium dahliae (KLEBAHN) et certaines des plantes maraichères (Tomate, Piment, etc. ) nous avons successivement : - Mis en évidence le polyphytisme du parasite et ses limites. - Démontré que la pression continue de l'hôte influe sur le pouvoir pathogène du champignon. - Etudié et analysé les effets de la mutation sur le pouvoir pathogène. - Etabli que des souches différentes peuvent associer leur agressivité dans un seul génome par le jeu de la recombinaison mitotique. Ainsi peuvent apparaitre de nouvelles souches pourvues d’un spectre parasitaire plus large. Enfin dans une conclusion générale/nous avons analysé les conséquences des faits établis expérimentalement les barrières de résistance de l'hôte, efficaces initialement, peuvent être franchies par des souches nouvellement apparues de l'agent pathogène présentant des combinaisons de gènes entrainant une agressivité accrue.

We have studied some couples of Verticillium dahliae (KLEBAHN) versus some market garden plants (Tomato, Pepper, etc…). We have developed and analysed the following aspects: - The host range of the parasite and its limits. – The influence of the continuous pressure from the host onto the pathogenicity of the fungus. – The effects brought about pathogenicity by mutation. – Differing strains can associate their respective aggressiveness in a single genome through mitotic recombination. This may give rise to new strains exhibiting a wider parasitic spectrum. Finally, we conclude that new strains of the pathogen, with gene combinations resulting in an increased aggressiveness, can overcome the initially efficient barriers of the host.