Thèse de doctorat en Biologie végétale
Sous la direction de Directeur de thèse inconnu.
Soutenue en 1986
à Dijon .
Nous avons cherché à déterminer si des mesures simplifiées, réalisées au laboratoire, pouvaient permettre de mesurer l'aptitude de souches de Rhizobium meliloti à former des nodosités sur la luzerne lorsque ces souches sont apportées dans un sol contenant des rhizobium de même spécificité. Deux méthodes, directe et indirecte, ont été effectuées en tube, sur sable et sur terre. Nous avons pu montrer que la fonction: NA : NB = CAB(IA:IB)**(k) (Amarger-Lobreau, 1982) s'appliquait pour Rhizobium meliloti. L'utilisation de la méthode directe doit permettre de faire un tri rapide sur un nombre relativement important des souches.
Rhizobium meliloti - Medicago sativa symbiosis : measurement of strain competition for nodulation
Pas de résumé disponible.