Thèse de doctorat en Physique des réacteurs nucléaires
Sous la direction de Jacques Bouchard.
Soutenue en 1985
à Paris 11 , en partenariat avec Université de Paris-Sud. Faculté des sciences d'Orsay (Essonne) (autre partenaire) .
Le travail effectué dans cette thèse est relatif à l’étude d’un accident de référence : l’éjection d’une grappe de contrôle d’un réacteur de puissance ; le but est de relier le facteur de point chaud à la réactivité libérée pour des valeurs maximales admissibles définies dans les études de sûreté. Dans un premier temps, une étude explicite de l'accident a permis de dégager les principaux paramètres physiques. Ensuite une étude d’incertitudes et de sensibilités sur différents paramètres a mis en évidence les problèmes liés aux phénomènes de transferts de chaleur entre le combustible et le réfrigérant, et liés à la réaction exothermique Zircaloy-eau. Enfin des calculs statiques tridimensionnels de diffusion à contre-réactions permettent de corréler le coefficient Doppler au facteur de point chaud. Une modélisation numérique en cinétique ponctuelle a permis d’obtenir les valeurs enveloppes pour différentes valeurs de fraction de neutrons retardés en début et fin de cycle.
Pas de résumé disponible.