Thèse de doctorat en Sciences de la vie, biologie, biochimie
Sous la direction de Stanislav Dusko Ehrlich.
Soutenue en 1985
à Paris 11 , en partenariat avec Université de Paris-Sud. Faculté des sciences d'Orsay (Essonne) (autre partenaire) .
Le président du jury était Pierre Schaeffer.
Le jury était composé de Stanislav Dusko Ehrlich, Pierre Schaeffer, Costa Anagnostopoulos.
Les rapporteurs étaient Costa Anagnostopoulos.
Il a été montré que les séquences nucléotidiques portées par des plasmides recombinent 1000 fois plus fréquemment que celles portées par le chromosome de B. Subtilis (B Niaudet et coll, 1984). Afin de comprendre les raisons de cette différence, nous avons inséré dans le chromosome de cette bacillacée un plasmide dont la réplication est thermosensible, et déterminé la fréquence de recombinaison au voisinage de ce plasmide. Par activation de la réplication plasmidique, nous avons pu stimuler environ 800 fois la recombinaison homologue dans le chromosome de B. Subtilis. Ceci démontre que la proximité d’une région réplicative est la cause de la fréquence élevée de recombinaison observée dans les plasmides. La nature du signal de stimulation de la recombinaison sera discutée.
Recombinaison induction in the Bacillus subtilis chromosome
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