Thèse de doctorat en Sciences physiques
Sous la direction de Directeur de thèse inconnu.
Soutenue en 1985
à Paris 11 , en partenariat avec Université de Paris-Sud. Faculté des sciences d'Orsay (Essonne) (autre partenaire) .
Le sujet de ce travail est l’étude de la dissociation des états électroniques excités des complexes de Van der Waals. L’excitation optique d’un complexe de Van der Waals permet d’accéder directement au complexe collisionnel. L’étude du complexe mercure azote met en évidence le rôle de la rotation dans la transition de structure fine Hg (³P₁) → Hg (³P₀) induite par collision. La réactivité des états excités du complexe a été étudiée. L’excitation du complexe Hg-Cl₂ au voisinage de la transition ³P₁ - ¹S₀ permet de mettre en évidence le complexe ionique intervenant dans la réaction Hg* + Cl₂ → HgCl* + Cl. Dans l’étude de la réaction Hg* + H₂ → HgH + H dans le complexe Hg-H₂ il a été observé une différence de réactivité des états électroniques du complexe.
Study of the chemical reactivity and the electronic relaxation in mercury Van der Waals complexes
In this work, the dissociation of the electronic excited state of Van der Waals complexes have been studied. The excitation of the Van der Waals complex allows the direct observation of the collisional complex. The study of the Hg-N₂ complex has shown that rotations play a major role to induce the fine structure transition: Hg (³P₁) + N₂ → Hg (³P₀) +N₂. The chemical reaction within the complex has been studied. In the excitation of the Hg-Cl₂ complex near the Hg (³P₁ - ¹S₀) transition we have observed the Hg⁺ + Cl₂⁻ ionic intermediate of the reaction Hg* + Cl₂ → Hg*Cl + Cl. For the reaction Hg(³P₁) + H₂ → Hg H + H studied in the HgH₂ complex the difference of reactivity between the electronic states of the complex have been observed.