Le récit court stendhalien
Auteur / Autrice : | Nicolas Allard |
Direction : | Paolo Tortonese |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Langue, littérature et civilisation françaises |
Date : | Soutenance le 02/06/2017 |
Etablissement(s) : | Sorbonne Paris Cité |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Littérature française et comparée (Paris) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement de préparation : Université de la Sorbonne Nouvelle (Paris ; 1970-....) |
Laboratoire : Centre de Recherche sur les Poétiques du XIXe siècle (Paris) | |
Jury : | Président / Présidente : Didier Philippot |
Examinateurs / Examinatrices : Paolo Tortonese, Didier Philippot, Yvon Houssais, Catherine Mariette-Clot, Philippe Berthier, Antonia Fonyi | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Yvon Houssais, Catherine Mariette-Clot |
Mots clés
Résumé
Cette étude consiste à embrasser dans un même mouvement les différents récits courts stendhaliens. Elle s'articule en cinq temps. Les trois premiers moments consistent à analyser, séparément, les anecdotes, nouvelles et récits inachevés stendhaliens. Une fois ces différentes typologies établies, l'étude se focalise sur la notion d'énergie, dénominateur commun de l'ensemble des récits courts composés par Stendhal. Enfin, le dernier chapitre cherche à montrer aussi bien la portée que la place de ces textes hétérogènes dans le vaste ensemble de la création stendhalienne. L'un des principaux intérêts de ce travail est de réhabiliter des textes qui, pour des raisons aussi bien génériques qu'éditoriales, n'ont pas encore été l'objet d'une étude exhaustive. Notre réflexion vise également à montrer tout à la fois la permanence et l'unité du genre bref dans l'œuvre de Stendhal, malgré l'existence d'indéniables différences entre les textes. Notre étude établit également une continuité entre récits courts et récits longs, ce qui permet de mieux comprendre des phénomènes stendhaliens aussi essentiels que l'inachèvement, la réécriture ou encore l'intertextualité.