Auteur / Autrice : | Mélina Vaurs |
Direction : | Stéphane Coulon, Vincent Geli |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Biologie santé. Génétique |
Date : | Soutenance le 26/11/2021 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole Doctorale Sciences de la Vie et de la Santé (Marseille) |
Partenaire(s) de recherche : | Equipe de recherche : Centre de Recherche en Cancérologie de Marseille (CRCM) |
Jury : | Président / Présidente : Stéphane Marcand |
Rapporteurs / Rapporteuses : Miguel Godinho Ferreira, Sarah Lambert |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Les extrémités des chromosomes, ou télomères, sont composées de séquences répétées d’ADN. Dans les cellules souches et germinales, la télomérase est capable de synthétiser des séquences télomériques pour palier à la perte progressive des télomères qui a lieu à chaque cycle cellulaire. Des études ont montré que les télomères pouvaient être aussi raccourcis dans les cellules somatiques. Lors de ma thèse, j’ai travaillé avec la levure S. pombe qui est un modèle d’étude attractif car elle possède un mécanisme de maintenance des télomères semblable à l’Homme. Premièrement, j’ai étudié les mécanismes responsables de la réparation des télomères dans des cellules quiescentes en utilisant un système permettant de générer artificiellement un télomère court. J’ai pu montrer notamment que la télomérase est aussi active dans les cellules quiescentes. Deuxièmement, j’ai pu mettre en évidence de nouveaux mécanismes moléculaires impliqués dans l’homéostasie des télomères dans les cellules cyclantes.