Le geste martial comme expérience : esthétique de l’« être-là »-ninja
Auteur / Autrice : | Salah Hmida |
Direction : | Alain Chareyre-Méjan |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Arts plastiques et sciences de l'art |
Date : | Soutenance le 29/09/2018 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale Langues, Lettres et Arts (Aix-en-Provence ; 2000-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire d'études en sciences des arts (Aix-en-Provence, Bouches-du-Rhône) |
Jury : | Président / Présidente : Bernard Lafargue |
Examinateurs / Examinatrices : Franck Doriac | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Hafedh Djedidi |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Il s’agit, dans ce travail, de trouver le geste qui renouvelle l’identité cicatrisée que le «guerrier » en nous recherche, à travers la pratique martiale définie comme habitation holiste d’un corps-soit, ce que Varela appelle « l’inscription corporelle de l’esprit ».Un être, par l’effet d’un art et par la compréhension de « l’expérience de l’expérience » que constitue la performativité du geste en général, peut-il jamais faire Un avec les choses qui l’entourent et qui l’enveloppent ? Il y a à parier que s’il y arrivait, il lui serait donné de saisir à la fois le caractère mythique des choses en tant qu’il est immanent à leur présence et cette présence en tant qu’oeuvre existentielle. L’art martial ninja constitue une telle réussite. Cette thèse en interroge les effets …