Produire un écrit en sciences au cycle 3 de l'école primaire : quels enjeux
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Auteur / Autrice : | Michèle Chabanois |
Direction : | Marie-Claude Penloup |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences du langage |
Date : | Soutenance en 2014 |
Etablissement(s) : | Rouen |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Normandie Humanités (Mont-Saint-Aignan, Seine-Maritime) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Dynamiques sociales et langagières (Mont-Saint-Aignan, Seine-Maritime2012-2017) |
Jury : | Examinateurs / Examinatrices : Régine Delamotte-Legrand, Claire Doquet-Lacoste, Yves Reuter |
Mots clés
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Mots clés contrôlés
Résumé
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Les programmes officiels de l'école primaire, l'analyse des programmes en diachronie le montre, associent l'enseignement-apprentissage des sciences à des pratiques d'écriture en classe, sur un support dédié. Mais quels sont les fonctions et le statut de cette écriture ? Pour le savoir, la thèse envisage les points de vue d'enseignants et d'élèves sur la place de l'écriture en sciences qui fait apparaître une distorsion en ce qui concerne la fonction épistémique de l'écriture. L'analyse comparative de cahiers d'expériences confirme l'existence d'un écrit très massivement voire exclusivement guidé par les enseignants et l'absence, de fait, d'un écrit « pour penser ». La thèse se clôt sur les implications didactiques d'un tel constat.