Thèse en cours

Étude des veines des membres thoracique et pelvien du Cheval : distribution valvulaire et réactivité veineuse

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Triangle exclamation pleinLa soutenance a eu lieu le 25/03/2016. Le document qui a justifié du diplôme est en cours de traitement par l'établissement de soutenance.
Auteur / Autrice : Khaled Harfoush
Direction : Mohamed Yassine Mallem
Type : Projet de thèse
Discipline(s) : Biologie, Médecine, Santé
Date : Inscription en doctorat le 20/10/2011
Soutenance le 25/03/2016
Etablissement(s) : Nantes, Ecole nationale vétérinaire
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Biologie-Santé Nantes-Angers

Mots clés

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Résumé

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Mon travail de thèse a pour but d’étudier dans un premier temps le système valvulaire des veines des membres thoracique et pelvien du Cheval. Nos résultats ont montré que la densité valvulaire diffère d’un membre à l’autre et également en fonction du diamètre, de la profondeur et de l’épaisseur de la paroi des veines. Nous avons observé également une densité valvulaire et un nombre de valvules plus faibles dans les veines coronales des membres thoraciques par rapport à ceux du membre pelvien ce qui pourrait expliquer pourquoi ces membres sont plus exposés à la fourbure équine. Dans un deuxième temps, la relation entre la différence de densité valvulaire observée dans les veines coronales et la différence de réactivité vasculaire de ces mêmes veines à des agents vaso-actifs sur le plan physiologique a été étudiée. La vasoréactivité des veines coronales aux différents vasoconstricteurs (i.e. noradrénaline) et vasorelaxants (i.e. acétylcholine) utilisés dans notre étude était similaire entre membres pelviens et membres thoraciques et ne pourrait pas ainsi être impliquée dans le mécanisme physiopathogénique responsable de l’atteinte préférentielle des membres thoraciques lors de la fourbure. Nos investigations dans une dernière partie montrent que dans les veines coronales, l'endothélium et le monoxyde d'azote ne sont pas impliqués dans l’effet vasorelaxant du pimobendane, un agent inodilatateur. Ainsi, il est possible que d’autres mécanismes participent à cet effet, nécessitant des investigations plus approfondies.