L'accord général sur le commerce des services et les pays en developpement. Dimension juridique, enjeux de developpement
Auteur / Autrice : | Khadiga Hafez |
Direction : | Stéphane Doumbé-Billé |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit |
Date : | Soutenance le 23/10/2015 |
Etablissement(s) : | Lyon 3 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale de droit (Lyon) |
Jury : | Président / Présidente : Laurence Boisson de Chazournes |
Examinateurs / Examinatrices : Laurence Boisson de Chazournes, Habib Ghérari, Louis-Augustin Barrière, Ahmed Mahiou, Louis Balmond | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Laurence Boisson de Chazournes, Habib Ghérari |
Mots clés
Résumé
La finalité du droit international économique contemporain est en principe de réaliser une meilleure harmonisation entre l’expansion du commerce d’une part et la croissance des pays en développement (PED) d’autre part. Cette harmonisation n’est pas toujours évidente dans certains domaines du droit international économique notamment les services. Les rapports juridiques entre un accord multilatéral comme l’AGCS (Accord général sur le commerce des services) et les PED représentent en effet, une dialectique tant au niveau du statut des PED dans le cadre de cet Accord que de ses conséquences juridiques à leur égard. L’étude s’inscrit dans le cadre de cette dialectique et tente de cerner la dimension juridique et les enjeux de développement de ces rapports. Elle se place dans ce contexte à montrer la flexibilité formelle de l’AGCS à l’égard des PED dans un premier lieu et la relativité de ses effets dans un second lieu.