La réception de la négritude en Afrique lusophone
Auteur / Autrice : | Alexandre Coly |
Direction : | Saulo Neiva, Abou Haydara |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Langues et litteratures etrangeres |
Date : | Soutenance le 04/05/2015 |
Etablissement(s) : | Clermont-Ferrand 2 en cotutelle avec Université Cheikh Anta Diop (Dakar) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale des lettres, sciences humaines et sociales (Clermont-Ferrand) |
Partenaire(s) de recherche : | Equipe de recherche : Centre de Recherches sur les Littératures et la Sociopoétique (Clermont-Ferrand, Puy-de-Dôme, France) |
Laboratoire : Centre de Recherches sur les Littératures et la Sociopoétique / CELIS | |
Jury : | Président / Présidente : Jean-Marc Moura |
Examinateurs / Examinatrices : Saulo Neiva, Abou Haydara | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Alioune-Badara Diané |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Notre thèse consiste à étudier la réception de la Négritude en Afrique lusophone. Pour y arriver, nous aborderons la genèse de la Négritude à travers les poètes et écrivains de la Négro renaissance américaine ainsi que Batouala de René Maran. Cela permettra de mieux discuter l’éclosion du concept de Négritude chez Aimé Césaire, Léon Gontran Damas et Léopold Sedar Senghor. Nous analyserons l’idéologie de la Négritude et le combat de ces poètes pour l’émancipation des peuples noirs et des opprimés du colonialisme. Enfin, voir l’impact de cette réception de la Négritude sur les littératures luso-africaines, avec Agostinho Neto, José Craveirinha et Noémia de Sousa. A-t-elle contribué à libérer les colonies d’Afrique lusophone du joug colonial et à renforcer la quête de soi. Nous chercherons à montrer que l’humanisme de la Négritude renvoie à l’éloge de la condition humaine et à la promesse du possible.