Traitements de surface mécaniques : modélisation et caractérisations expérimentales
Auteur / Autrice : | Donato Gallitelli |
Direction : | Delphine Retraint, Emmanuelle Rouhaud |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Matériaux, Mécanique, Optique et Nanotechnologie |
Date : | Soutenance le 16/05/2018 |
Etablissement(s) : | Troyes |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences pour l'Ingénieur (Troyes, Aube) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut Charles Delaunay / ICD |
Jury : | Président / Présidente : Véronique Favier |
Examinateurs / Examinatrices : Emmanuelle Rouhaud, Véronique Favier, Vincent Ji, Doïna Gordin, Gwenaelle Proust, Mario Guagliano, Patrice Peyre | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Vincent Ji, Doïna Gordin |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Les traitements de surface occupent une place très importante au niveau industriel, visant à améliorer les propriétés mécaniques des matériaux. Parmi eux, le grenaillage de précontrainte (GC) est certainement le plus renommé, même si le grenaillage ultrasonore (GUS) et le choc laser (LSP) sont de plus en plus présents. Ce travail consiste en une étude approfondie du grenaillage qui peut être divisée en trois parties. La première partie propose un modèle semi analytique pour la prédiction des contraintes résiduelles après grenaillage conventionnel ou ultrasonore. Une démarche permettant d’obtenir la déformation d’une pièce à géométrie complexe à partir des paramètres du procède de grenaillage conventionnel ou ultrasonore a été mise en place. Plusieurs simulations numériques d’impacts bille-massif ont été réalisées dans l’objectif de choisir les variables à prendre en compte dans le modèle proposé. Dans une deuxième partie, plusieurs séries de mesures expérimentales et de simulations numériques de la dynamique des billes ont été réalisées afin de permettre une optimisation et une meilleure compréhension du GUS. Dans la dernière partie de ce travail, un grand nombre de mesures expérimentales ont été menées afin d’étudier le couplage entre le grenaillage ultrasonore et la nitruration gazeuse d’un acier martensitique. Enfin, une comparaison entre le grenaillage ultrasonore, conventionnel et le choc laser est proposée